Des chiffres et des dettes. Le Conseil des Prud'hommes de Saint-Denis, a condamné les AGS à garantir les créances salariales de 836 ex-travailleurs de l'Arast. Le tribunal de Saint-Pierre lui, a condamné le Conseil général, à verser des indemnités à 129 ex-employés de la même structures. "87 sont dans l'attente d'un jugement".
Selon les chiffres donnés par Ibrahim Dindar, 241 ex-salariés n'ont pas engagé de procédure contentieuse. Leur indemnisation est estimée à 531.000 € (des montants de 500 à 2.000 €). "Nous n'avons plus à rassurer les AGS. La contrainte n'a plus lieu d'être, car selon les décisions de justice définitives rendues, les AGS rembourseraient alors le Conseil général, et réciproquement si le Conseil général venait à être condamné".
A ce stade de l'évolution du dossier, quelle pourrait être la position des AGS ? Que pense l'organisme de cette fameuse "avance sur fonds de concours", c'est-à-dire que le Conseil général est prêt à avancer "50 % des sommes que verseraient les AGS". Depuis vendredi 13 janvier, la balle est dans le camp des AGS. La personne en charge du dossier est rentrée de vacances hier.
Il lui faudra sans doute un peu de temps pour étudier les propositions du Conseil général. Si les dispositions lui conviennent, un délai sera nécessaire pour négocier un contrat tripartite (ex-salariés, AGS et Conseil général), le rédiger et préparer ensuite le contrat pour l'emprunt. Cela va sans doute demander du temps alors que l'ultimatum pour une paralysie de Saint-Denis mercredi matin, coure jusqu'à aujourd'hui, midi …
Selon les chiffres donnés par Ibrahim Dindar, 241 ex-salariés n'ont pas engagé de procédure contentieuse. Leur indemnisation est estimée à 531.000 € (des montants de 500 à 2.000 €). "Nous n'avons plus à rassurer les AGS. La contrainte n'a plus lieu d'être, car selon les décisions de justice définitives rendues, les AGS rembourseraient alors le Conseil général, et réciproquement si le Conseil général venait à être condamné".
A ce stade de l'évolution du dossier, quelle pourrait être la position des AGS ? Que pense l'organisme de cette fameuse "avance sur fonds de concours", c'est-à-dire que le Conseil général est prêt à avancer "50 % des sommes que verseraient les AGS". Depuis vendredi 13 janvier, la balle est dans le camp des AGS. La personne en charge du dossier est rentrée de vacances hier.
Il lui faudra sans doute un peu de temps pour étudier les propositions du Conseil général. Si les dispositions lui conviennent, un délai sera nécessaire pour négocier un contrat tripartite (ex-salariés, AGS et Conseil général), le rédiger et préparer ensuite le contrat pour l'emprunt. Cela va sans doute demander du temps alors que l'ultimatum pour une paralysie de Saint-Denis mercredi matin, coure jusqu'à aujourd'hui, midi …
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